VOLUMES / STRUCTURES /INSTALLATIONS

 

/ VOLUMES  / STRUCTURES  /  INSTALLATIONS /

 

 

l'oiseau mazouté

/ L'oiseau mazouté /

Extincteur customisé

 

 Sur le miroir des eaux, un oiseau mazouté

hurle d’un cri muet son silence immobile.

Extinction

Rien ne s’éteint plus. Il s’éteint

Désastre de boue noire, il geint.

 Lourd, lourd, corps à corps englué,

 Il s’étouffe

 Extinction

La masse des goudrons entêtés

le harcèle de souvenirs aphones

 et de hurlements sourds.

Il sait.

Extinction

Au commencement, à la surface des eaux

Planait l’Esprit.

De matières encroutées,

 Il s’écrase à la fin.

Extinction

 

 

 

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/ Furcula, une sculptrure évolutivo-participative /

 

 

 Conférence inaugurale donnée le 30 avril  2018 aux vivres de l'Art / Bordeaux

Furcula est un projet lointain.  Il porte un double sens tendu vers deux extrêmes : passé et à venir.

Tourné vers le passé, – la direction la mieux saisissable ( quand l’inconscience et l’oubli ne la troublent pas trop) –  le projet Furcula s’enracine de pensées profondes. Architecturales et picturales, elles s’ancrent à des pratiques plurielles : métier, inclinations, apprentissages, elle sourdent  d’expériences et de tentatives croisées, se forgent d’actions et de découvertes, s’alchimisent au creuset des intentions et des rencontres.

Tourné vers le passé, – une direction des plus insaisissables ( quand l’identité  professionnelle, l’empreinte des parcours et des orientations  ont tatoué leurs étiquettes et  imposées leurs masques)  – le projet Furcula s’enracine de pensées profondes. Rêveries d’un enfant collectionneur, cueillettes coquillères d’un chercheur de fossiles, imaginaires cabanes venues de pays aux chemins oubliés, greniers enfouis sous terre aux marges du peut-être.

Tourné vers le passé, –  le projet Furcula s’enracine de pensées profondes aussi confuses que certaines.

 Tellement confuses qu’on ne saurait  les dire.

 Tellement certaines qu’on les dirait confuses.

 Et pourtant là, nécessairement là, impérieusement là comme un désir devenu tactile immédiat, évident.

Tourné vers le passé, le projet Furcula réunit des ingrédients pour en faire des signes. Il parle de moi à la troisième personne – «  je, cet autre », avec les mots de Rimbaud – Il fait de choses-en-boites la parole d’un dire : une représentation, un fait d’Art.

 

 Tourné vers l’à-venir  (je l’écris en deux mots), le projet Furcula se mue dans les branchages, se disperse vers les voies inconnues de l’espace et du temps . J’ignore à peu près tout de la forme qu’il prendra, du rythme qu’il lui faudra pour éclore ( s’il éclot). Son avenir (je l’écris en un mot) m’échappe et son mystère me plait.

Tourné vers l’à-venir, le projet Furcula s’éparpille incertain. C’est un essaim d’oiseaux dispersé vers l’été, au vent des feuilles mortes.

 Tourné vers le passé, le projet Furcula est d’abord une boîte.

 Tourné vers l’avenir, le projet Furcula est encore une boîte, puis deux et d’autres, réunies, assemblées, ordonnées, dispersées. 

Boite, l’écrin de souvenirs ; déboitée, l’ombre de Zébulon y tournicotte .

Boite, la malle du grenier ; déboitée, Pandore y farfouille et Clochette y pétille.

 Boite, le tiroir à malices ; déboitée, Jumping  jack flash dans la clameur des riffs.

 

Mais de quoi s’agit ’il ?

 D’abord de retrouvailles.

 Dans un coin du jardin, entre deux mauvaises herbes, au pied d’un hortensia, je trouvais un os intact et délicat, décharné  et tout nu, un rien frêle , empoussiéré et pâle.  C’était un bréchet de poulet. Je le ramassais  et le promenais de la main en tous sens. A l’horizontale, c’était un navire à l’étrave effilée ; verticalement et de profil, un ange aux ailes déployées ; sur sa face convexe, la figure  d’Attila ; sur la  concave, un papillon, un masque africain un test de Rorshash... Je passais du temps à le contempler, à ouvrir l’œil à ses métamorphoses. Résidu d’un repas, Tcha-Tcha  l’avait déposé là après un dérochage consommé. Des rongeurs des  villes ( je ne les aime pas) y ont peut-être contribué ; je serais très étonné  toutefois que Tcha-Tcha  les ait laissés s’approcher sans dommage. Plus surement, les  fourmis ( je les aime bien) ont achevé l’ouvrage. Enfin, pas tout à fait. Je m’en mêlais aussi. A coup de lave-vaisselle et d’eau javelisée, je le lustrais d’une blancheur spectrale. Enfin suspendu par des fils de pêche, j’en fis mon modèle pour quelques temps. Je le photographiais. Je le dessinais. 

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Je recueillais l’exacte courbure de  ses lignes, ses enchainements profilés, la modulation de ses épaisseurs.

 Conjuguées à des lignes pointées vers des abîmes, des soleils, des lunes, des lumières en apex par-delà les ronciers, je tissais en peinture d’immenses cathédrales ; j’entrelaçais  des algues dans l’ombre des océans, la blancheur en surface ; j’entrecroisais des sphères aux voilures imbriquées. Je cherchais des architectures.  En blanc, en noir, en bleu, en couleur maintenant - depuis que j’ai observé la décomposition spectrale du soleil catalan sur des œufs de fourmis, ma gamme s’est rougie – je dessinais, je peignais des espinographies (dérivées des  vertèbres du poisson ) et des gallinations ( dérivées des os de poulet – l’oiseau qui revient le plus souvent dans mon assiette. Je me suis déjà retrouvé face à face avec le cadavre d’un grand vautour échoué sur une plage, avec le corps décomposé d’un pigeon écrasé sur l’asphalte : je les ai peints mais je ne les ai pas mangés).

La fin du grand maitre

Sur la route, l'oeil en flaque/Acrylique sur lin de Madrid/firmat 60x75/oct 2012.

 

Je naviguais dans ces mondes quand survint une autre retrouvaille.

Cric ou crac ?

J’avais entre les doigts la queue d’un diapason, une petite fourche à faire des vœux secrets, un os à souhait pour les véliplanchistes.

  A l’envers c’était un stéthoscope – « j’entends battre ton cœur » - un truc un peu sexuel, sorte de pédoncule emmanché sur deux lèvres.

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Cric ou crac ?

 C’était un jouet, une blagounette en os planquée dans la carcasse, un truc à dénicher après démembrement des cuisses et expulsion de la chair.

Cric ou crac ?

 Un trait d’union ou de rupture, un symbole à rompre en deux fragments qu’un même mot rassemble ou laisse à part, une sorte d’alliance, une forme de pari.

 Comme avec le bréchet découvert au jardin, je restais un long moment à le contempler et reprenais les mêmes tâches.  Je le confiais à mes assistants : Tcha-Tcha  pour le dérochage, les fourmis pour le décapage, le lave-vaisselle ( alors que ce n’est pas de la vaisselle mais certains utilisent cet appareil pour y cuire du saumon !), l’eau de javel pour l’immaculation.  J’en faisais un modèle, le dessinais, le peignais, observais le contour de ses ombres portées à la lumière d’un projeceur rasant.

Et puis je méditais… Furcula, la petite fourche n’est pas seulement un os intrigant, atypique. C’est un objet de mémoire, un souvenir d’enfance ; un clin d’œil et un rite comme la fève d’une galette des rois ; une extravagance comme la perle d’une huitre ou la crête d’un coq.

 C’est aussi un nom singulier. Certains l’appellent « sot-l’y-laisse ». Quelle erreur ! Le  sot-l’y-laisse  est tout en chair. Certains s’électrisent à sa consonance. Je me souviens du regard crispé d’une consœur à l’évocation de mon projet. Ce n’est qu’au moment où je lui ai délivré la signification latine du nonosse éponyme que ses yeux se sont détendus.

Furcula : petite fourche, fourchette ;le nom de mon projet décrit sa forme à la manière d’une rotule qui rote.

Ah c’est du latin !

Oui - à quoi pensais-tu ?

 Je méditais encore. Le poulet et les oiseaux de même race jouent un rôle important dans la représentation religieuse.  La tradition catholique  empale leurs effigies au sommet des clochers. Les haruspices pratiquaient leur art divinatoire en les éventrant pour lire dans leurs entrailles chaudes. Le vaudou, les gitans, les asiatiques interprètent et parient sur leurs combats…

Et puis il y a ces êtres étranges : les anges – je me souviens d’en avoir eu très peur ; cette histoire d’ange gardien qui m’observait tout le temps, dans la nuit, mes secrets et même  dans ma tête m’a terrifié longtemps ; je ne suis pas sûr, d’ailleurs, de m’en être tout-à-fait défait -. Les anges, ces hommes-femmes ailés dont on n’a jamais vraiment su identifier le sexe ; saurait-on en dire plus sur leurs ailes ?  Il parait assez clair que les  amours à fesses roses soient ailés de colombe mais pour les anges bibliques ceux qui détruisent les villes, ceux qui gardent l’entrée du paradis, ceux qui te livrent à l’ enfer, ceux qui t’observent dans le noir, vous diriez qu’ils ont des ailes de vautour ou bien de canari ?

J’ai résolu la question : ils ont des ailes de poulet.

 Je ne m’attarderai pas en explications ; mais soyons clairs : s’ils avaient de grandes ailes, les anges se sauveraient. S’ils avaient de petites ailes, on les mettrait dans des cages.  Les poulets ; on les mange ; on les parquent en barquettes dans les supermarchés, on les empalent au sommet des églises, au cœur de nos villages. Ils font partie de notre quotidien ; c’est comme cela qu’ils nous observent. 

Mais ils ont gardé  l’empreinte du rêve, la marque d’un potentiel onirique, l’emblème d’évasions désirées sous la forme d’omoplates scellées réunies sous la gorge en contrepoids des ailes.

 Cette empreinte, ce signe, cet emblème c’est Furcula, la petite fourche, la fourchette.

Cric ou crac ?

  Un jour, la coïncidence d’un pinceau déposé  sur ma table à dessin à côté du dit os me souffla une solution. Elle m’apparut en ombre. La ligne du pinceau tangentait la courbure de la petite fourche selon un enchainement parfait. Observant le tracé,  J’en prenais bonne note.

Au-delà d’un contour, je devinais les possibilités structurelles du couple furcula / pinceau. Il me rappelait les charpentes modernes faites de madriers assemblés au moyen de connecteurs. 

Trois pales : à leurs extrémités, au lieu où elles se soudent,  les  branchettes de Furcula  s’aplatissent comme des petites pelles. Elles miment les découpes des feuilles du gincko , celles des profils antiques sur  fond vert ou mauve  dessinés en camées sur les biscuits anglais.

Trois pales  non coplanaires.

A l’applique de chacune, les pinceaux se dispersent dans les trois dimensions de l’espace.  Aucun n’est parallèle à l’autre.

A chaque pinceau,  à chaque ramure,  un nouveau connecteur. Le mikado se spatialise.   A chaque baguette , un nouvel os furcula scelle l’enchevêtrement, le consolide. L’édifice prend forme et s’étend  sans autre limite que la matière dont il dispose ou  celle du cadre qui la contient.

L’idée d’une structure évolutive est là. Je retrouve les définitions de mes apprentissages, les bases de mon élevage comme  le répétait mon prof de construction.

Qu’est-ce qu’une structure ?

-un ensemble d’éléments organisés selon un système.

Qu’est-ce qu’un système ?

-la caractéristique permanente d’une structure.

 On tourne en rond mais ça se tient. En la circonstance,  je dispose de tous les ingrédients.

 Furcula, - je le pose et l’affirme – est une structure. Je la qualifierais d’évolutive : rien ne   limite son extension  ni ses transformations. Au contraire ce sont ses capacités de transformation et d’évolution qui la structurent.

 Un pinceau, une petite fourche à trois pelles ; trois pinceaux , trois petites fourches à trois pelles, j’en rattrape un ou deux ou trois , j’en pose trois autres , j’en rajoute un ou deux ou trois et trois petites fourches ou une ou deux ou trois, etc.

Des pinceaux assemblés par des petites fourches de poulet ad libitum. Les éléments sont là. Le système est posé ( ou presque  car le tout est maintenant de savoir comment les assembler).

 Mais  si je pense Furcula   comme un ensemble d’éléments systématiquement organisés ( une structure donc) c’est vers une présence plastique, un corps de matière et d’espace   que je tends. Je l’entrevois, je le perçois en ses  instants immobiles, en sa figure détachée, retenue. Je la vois en sa forme sculpturale, comme une fleur dans un vase  posé sur une table, un coquillage ou un iguane dans un musée d’histoire naturelle, un cavalier de bronze au milieu d’une place.

 Sculpture, je la vois en vitrine.

 Sculpture, je la vois sur un socle.

 Sculpture, je la vois comme un objet arrêté, retiré à la  contingence du temps et de l’espace ; ne serait-ce que dans la séquence d’un instant  ou d’un lieu.

 Certains parleraient d’installation. Ces trucs en « ion » me faisant chier : je parlerais de « sculptrure ». Nous la savons évolutive.

  Furcula est une sculptrure  évolutive .

  Elle est aussi participative.

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Tournée vers le passé, elle articule des éléments chargés d’histoire, de mémoire, d’identité : des pinceaux qui ont peint, des os de poulets nimbés de symbolisme à haut pouvoir figuratif et spirituel et  néanmoins résidus  de repas, les miens, les vôtres, ceux de Tcha-Tcha,ceux des fourmis, ceux ( mécaniques) du lave-vaisselle, ceux (chimiques) de l’eau de javel.

Tournée vers le passé, la sculptrure Furcula réclame des signes d’authenticité, des liens avec l’histoire.  Ce seront des noms attachés aux petites fourches. Les noms de ceux qui les auront extirpées de leur poulet d’origine ; en le mangeant pour la plupart ; en le recueillant ( il m’a été objecté qu’en reliant ma sculptrure à une consommation carnivore – pourtant symbolico-substantiellement inscrite dans certaines traditions religieuses– j’en écartais les végétariens) en le recueillant donc  ou, pour ceux qui ne voudraient pas se rendre complice d’un crime carnivore, en le fabriquant ( en résine, argile ou pâte à pain,etc.).

Selon le mode que vous voudrez, amenez-moi vos petites fourches  et donnez-moi vos noms.

Tournée vers l’avenir,  la sculptrure Furcula intègre vos  os à l’édifice en les scellant de votre nom.

Furcula est une sculptrure évolutivo-participative.

 Furcula, la sculptrure évolutivo-participative, est faite de pinceaux, de pinceaux déplumés, les miens, ceux que l’on m’apporte dûment identifiés par un étiquetage.  Aucun pinceau vierge n’y est admis. Tous ont sacrifié leurs poils à la toile, au papier, à la peinture sans couteau, sans bombe et sans aérosol, à celle qui charrie les jus colorés dans ses poils. Tous viennent de la peinture contact.  Ils en portent les traces, parfois les blessures (assez rarement, c’est plutôt doux les poils), le plus souvent l’usure : la caresse est érosive.

 Jusqu’ici, j’ai collectionné pour Furcula des pinceaux à longs manches effilés. Ce sont ceux que j’utilise. Je tiens mon regard à distance de ma main. Mais à y réfléchir, rien ne s’oppose à ce que des pinceaux à manches retroussés et dodus intègrent la sculptrure.

 

Furcula, la sculptrure évolutivo-participative, est faite de furculae, les petites fourches à faire cric-ou-crac. Jusqu’ici toutes sont de poulet. Dans une boite à camembert posée sur ma table à dessin, j’ai recueilli une furcula de poule, une autre de canard. Je n’ai pas encore décidé de leur sort. Les intégrer à l’œuvre  pourrait dénaturer son sens. Prudence,donc.

Les furculae sont peintes en bleu, en bleu ciel avec une très infime-petite-goutelette de rouge .  ce bleu est la couleur par laquelle je suis venu à la peinture depuis le monde noir-blanc-gris du dessin quand cherchant l’étendu, je trouvais le ciel et la mer.

 Les furculae portent les noms de leurs commanditaires. Dans un premier temps, j’avais envisagé de les écrire au déroulé des scotchs de papier qui relient  les ramures aux pinceaux. Comme des phylactères  - allusion directe à la peinture médiévale ; on la sait essentiellement religieuse ; allusion encore au culte des reliques -  les languettes pendantes auraient supporté l’étiquetage des os.

Petites fourches / fourchettes ; petites langues / languettes ; évocation de la représentation religieuse  (on sait que le poulet y joue un rôle  très important) je trouvais un certain sens à ces coïncidences. L’expérience de mes premiers assemblages me fit  toutefois douter de leur intérêt.    Avec en mémoire, l’étiquetage plumé des  vieux musées de sciences naturelles ( quand les sciences s’appelaient histoire, quand Milou volait un tibia de diplodocus au jardin des plantes), j’achevais de me convaincre de mon erreur.  Ce n’était pas l’assemblage pinceau-furcula que j’avais à nommer mais l’os lui-même.

 Je le disais en introduction : « le projet Furcula s’enracine de pensées … confuses ». En voici l’exemple.

Dissocier la ligature de l’étiquette, c’est quand même plus clair. C’est surtout plus juste et mieux lisible.

Furcula, la sculptrure évolutivo-participative est faite de ligatures et d’étiquettes.

   Pour la ligature : une lanière de scotch-papier-crêpe  de largeur ajustée enroulée comme la bague attachant le tuteur à la branche.

Pour l’étiquette : un rectangle ajusté de vélin d’Arches bistre, perforé sur une extrémité et noué à la ramure de furcula par une  fine ficelle écrue. Quant à l’écriture, à la plume Sergent-Major avec pleins et déliés d’encre noire sur le mode des herbiers et des collections de fossiles antemécanographiques, quand les musées d’histoire naturelle ne s’éclairaient pas de diodes bleues dans le noir, quand ils ne proposaient pas encore d’animations ludiques pour instruire les enfants en cliquant sur des cases.

Furcula, la sculptrure évolutivo-participative, est faite de boites. De boites transparentes. 

Ce sont des vitrines ( vous parlerai-je encore des collections de fossiles et des vieux musées d’histoire naturelle ?) elles protègent, rassemblent, donnent à voir.

Ce sont des coffrets, ils facilitent le rangement et permettent un transport sécurisé. Furcula est destinée à suivre mes expositions  en se transformant à chaque apparition.

Ce sont des briques transparentes, empilables et de mêmes tailles. Elles offrent de multiples possibilités d’appareillage.

Je présente ici un premier élément : la  furcula erornalobaupaupeisylcathisakwiz-alfranalensis.  Un autre est là : XXX  Je vous appelle maintenant   à  les démultiplier.

 Cric ou crac ?

Amenez-moi vos petites fourches que je les peigne en bleu.

 

 Eric Lefeuvre.

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